Il est 2h30 du matin et je n’arrive pas à dormir. C’est peut-être dû à la quantité astronomique de raclette ingérée lors du souper, ou peut-être à la nervosité qui m’habite quant à mon départ pour l’Amérique du sud. Probablement les deux. Il me reste énormément de choses à préparer, dont la rédaction de ce…